Hazel, la mère d'Harrison, est inconsolable après sa mort. Elle est décrite comme « engourdie et désorientée » et incapable de parler ou de bouger. Son esprit est rongé par le chagrin et elle est incapable de comprendre toute l'étendue de la perte de son fils. La profonde tristesse de Hazel est évidente tout au long de l'histoire, car elle est incapable d'accepter la mort soudaine et tragique de son enfant bien-aimé.
George, le père d'Harrison, est également profondément affecté par la mort de son fils. Il est rempli de colère et de ressentiment envers le gouvernement et la société qu'il croit responsables de la disparition d'Harrison. George est incapable d'accepter l'idée que son fils, malgré ses capacités exceptionnelles, ait été contraint de se conformer aux règles et réglementations oppressives imposées par le Handicapper General. Il est hanté par le sentiment de n'avoir pas réussi à protéger Harrison et ressent une immense culpabilité de ne pas avoir pu le sauver.
George et Hazel sont émotionnellement brisés et incapables de gérer pleinement leur chagrin. Leur chagrin est aggravé par le fait qu’ils vivent dans une société qui supprime l’individualité et décourage l’expression émotionnelle. L'impact de la mort d'Harrison sur ses parents constitue un commentaire poignant sur les conséquences dévastatrices d'une société totalitaire qui donne la priorité au conformisme plutôt qu'à la dignité humaine et à la liberté.
En conclusion, la mort d'Harrison affecte profondément ses parents, George et Hazel, qui restent inconsolables, remplis de colère et de ressentiment, et incapables de gérer pleinement leur chagrin. Leur bouleversement émotionnel met en évidence l’impact dévastateur de la vie dans une société qui ne tient pas compte de l’individualité et réprime les émotions humaines. L’histoire est un rappel poignant de l’importance de la liberté et des conséquences tragiques des systèmes oppressifs qui étouffent le potentiel et le bonheur humains.