Dans le royaume où les mélodies s'envolent,
Où la musique tisse sa douce tradition,
Une valse de Strauss, un printemps si brillant,
Réveille le pur délice de la nature.
(Chœur)
Des voix jaillissent, une foule joyeuse,
En harmonie, ils chantent,
Faisant écho à la joie de la naissance du printemps,
Alors que la nature danse sur cette terre sacrée.
(Verset 2)
Les cordes caressent la brise du matin,
Alors que les couples valseurs trouvent la libération,
Leurs cœurs entrelacés, un mélange gracieux,
Dans cette tendance enchanteresse et intemporelle.
(Chœur)
Des voix jaillissent, une foule joyeuse,
En harmonie, ils chantent,
Faisant écho à la joie de la naissance du printemps,
Alors que la nature danse sur cette terre sacrée.
(Pont)
Les prairies brillent de teintes vibrantes,
Alors que les fleurs s'épanouissent dans des couleurs vraies,
Les oiseaux se réjouissent avec un enthousiasme vif,
Dans ce doux havre, ils sont bénis.
(Verset 3)
La grandeur de la valse se dévoile,
Au rythme que nos esprits tiennent,
À chaque pas et doux balancement,
On ressent la magie de la journée.
(Chœur)
Des voix jaillissent, une foule joyeuse,
En harmonie, ils chantent,
Faisant écho à la joie de la naissance du printemps,
Alors que la nature danse sur cette terre sacrée.
(Sortie)
Ainsi, la valse de Strauss, un air chéri,
Élève nos âmes et libère la douleur,
Les voix du printemps apportent des mélodies suprêmes,
Dans les bras de la nature, un rêve merveilleux.