Dans la première strophe, le poète décrit le palmier comme « le roi parmi les arbres », soulignant sa présence majestueuse et sa domination dans le paysage. Il utilise une imagerie vibrante, comparant ses feuilles à des « éventails / de flammes vertes et jaunes » et son tronc à une « grande colonne d'ivoire ». Le ton du poète est plein d'admiration et de respect lorsqu'il reconnaît la grandeur et la beauté de l'arbre.
La deuxième strophe prend une tournure plus introspective alors que le poète réfléchit à son lien personnel avec le palmier. Il se souvient de la façon dont il grimpait à l'arbre lorsqu'il était enfant, atteignant sa « feuille la plus haute » et se sentant « comme un conquérant ». Ces souvenirs évoquent un sentiment de nostalgie et le désir d’une époque plus simple et plus insouciante.
Dans la strophe finale, le poète revient au moment présent, reconnaissant qu'il n'est plus capable de grimper sur le palmier mais qu'il trouve toujours réconfort et inspiration en sa présence. Il décrit comment le « fruit jaune » de l'arbre tombe « comme des étoiles » et compare sa « crête plumeuse » à une « fontaine de feu jaune ». Les images de cette strophe sont une fois de plus vives et dynamiques, capturant l'essence du palmier et sa signification durable pour le poète.
Dans l’ensemble, « The Yellow Palm » est une célébration de la beauté de la nature et du lien personnel du poète avec le monde naturel. À travers ses images vives et ses réflexions réfléchies, Williams transmet un sentiment d'émerveillement et d'appréciation pour la beauté simple mais profonde d'un seul palmier.