"One Art" explore la pratique de la perte d'objets en tant que compétence qui nécessite du dévouement et de l'endurance. Le poème utilise la métaphore de la perte comme forme d’art pour décrire les difficultés et l’angoisse qui accompagnent l’abandon des biens matériels et, plus important encore, le processus de gestion de la perte d’êtres chers.
L'oratrice réfléchit aux choses qu'elle a perdues dans le passé :des clés, des manteaux et même une belle maison avec son contenu inestimable. Elle admet que, malgré ses tentatives répétées pour maintenir ses biens en sécurité, elle se retrouve constamment à les perdre.
Au fur et à mesure que l’oratrice approfondit cette réflexion personnelle, elle établit un parallèle entre la perte des biens matériels et la perte inévitable qui accompagne la mort. Elle reconnaît le caractère inévitable de ces pertes et reconnaît la futilité de s’accrocher aux choses avec une intensité qui l’empêche d’embrasser pleinement la vie.
L’oratrice découvre une source de réconfort au milieu de ses luttes contre la perte :elle apprend que l’acte de se perdre devient une forme d’art. Accepter l’impermanence de la vie et trouver la beauté dans le processus de lâcher prise transforme l’expérience d’une source de douleur en un art qui demande à la fois discipline et force.
En fin de compte, « One Art » témoigne de la résilience de l’esprit humain face à l’adversité. Il encourage le lecteur à affronter les difficultés et les pertes de la vie non pas avec désespoir, mais avec une acceptation qui permet une croissance personnelle et une compréhension plus profonde du monde qui l'entoure.