Le poème commence par une description de la rue elle-même, qui est « éclatante et vivante » et « remplie de monde ». Lowell utilise des détails sensoriels pour créer une impression de l'atmosphère, décrivant la « clameur aiguë des sabots de fer », la « discorde stridente des roues » et le « pas lourd des charretiers ». Elle note également « l'odeur des chevaux », « l'odeur du cuir » et « l'odeur âcre de l'humanité ».
Le poème se concentre ensuite sur les gens qui habitent cette rue animée. Lowell décrit un large éventail de personnages, notamment des « vagabonds ivres », des « prostituées », des « hommes d'affaires » et des « femmes de la nuit ». Elle note également la présence de "policiers", qui "se tiennent au coin et montent la garde".
Le poème se termine par une réflexion sur la ville elle-même, décrite comme un « grand monstre palpitant » qui est « vivant et éveillé » même aux petites heures du matin. Lowell écrit que la ville est un lieu où « toutes choses convergent » et où « le monde est éveillé et en éveil ».
Dans l'ensemble, le poème « A London Thoroughfare Two AM » est une représentation vivante et atmosphérique d'une rue animée de Londres à 2 heures du matin. Le poème capture les images, les sons et les odeurs de la ville et donne une idée de l'activité trépidante qui se déroule même aux petites heures du matin.