1. Utilisation de la métaphore :Le poète compare le soleil à « l'or en fusion », évoquant une vision de chaleur torride. La métaphore de l’or suggère un éclat chatoyant et une chaleur intense qui rayonne du soleil.
2. Personnification :Le poète personnifie le soleil en le décrivant comme « dévorant tout » et « buvant la dernière goutte d'eau ». Ces phrases suggèrent que le soleil est une force insatiable, drainant la terre de son humidité et la laissant desséchée.
3. Détails sensoriels :Le poète inclut des détails sensoriels spécifiques pour transmettre l'impact physique de la chaleur. L'évocation de la « terre cuite » et des « arbres frissonnants » crée l'image d'un paysage désolé et épuisé, où même les arbres semblent trembler sous l'intensité du soleil.
4. Contraste :Kabir juxtapose les couleurs vibrantes et la vie du matin avec la monotonie de l'après-midi. Il souligne comment l'ancienne « aube violette » a cédé la place à un « ciel jauni », suggérant une perte de vitalité et d'énergie face à la chaleur incessante.
5. Langage descriptif :Le poète emploie un langage riche et précis pour décrire la scène. Il utilise des adjectifs tels que « fondu », « féroce » et « frissonnant » pour souligner l'intensité de la chaleur et ses effets sur l'environnement.
Dans l’ensemble, la représentation par Humayun Kabir d’un après-midi chaud dans « Trains » capture de manière vivante la chaleur accablante, sa nature implacable et l’impact qu’elle a sur le paysage et les êtres vivants qui s’y trouvent.