Voici quelques exemples de la façon dont Shakespeare a utilisé le mot « gorbelied » dans ses pièces :
* Dans "Henry IV, Part 1", Falstaff est décrit comme "ce valet gorbelled" par le prince Hal.
* Dans « Les Joyeuses Commères de Windsor », Sir John Falstaff est à nouveau qualifié de « valet gorbelied » par Mistress Page.
* Dans "Twelfth Night", Sir Andrew Aguecheek est décrit comme "ce garçon gorbelled" par Sir Toby Belch.
Dans chacun de ces cas, le mot « gorbelied » est utilisé de manière négative pour décrire une personne en surpoids ou gourmande. Il est important de noter que ce mot n’est plus considéré comme acceptable en anglais moderne et est généralement considéré comme offensant.