* Métaphore :
- Bradstreet commence le poème en comparant l'amour qu'elle ressent pour son mari à « l'aimant du nord ». Cette métaphore décrit leur connexion comme une force magnétique, les attirant les uns vers les autres et créant un lien fort.
* Personnification :
- L'amour de l'orateur est caractérisé comme une "petite tortue" qui se cache dans son cœur. Cette personnification donne vie à un concept abstrait, démontrant à quel point son amour pour son mari est profondément ancré en elle et reste une source constante de réconfort.
* Comparaison :
- Bradstreet compare l'absence de son mari à "l'éclipse qui intercepte tes rayons". Cette comparaison exprime de manière vivante comment son absence assombrit son monde et atténue son moral, tout comme une éclipse bloque le soleil.
* Allitération :
- Dans des vers comme « Comme des colombes aimantes gémissant sans cesse » et « Dans les mers étrangères, mon amour à lancer », la répétition des consonnes crée un rythme musical qui souligne davantage les sentiments tendres exprimés dans le poème.
* Paradoxe :
- Bradstreet utilise le paradoxe pour exprimer la nature contradictoire de leur séparation :"L'amour ne connaît pas la distance, mais notre distance nous sépare." Ce paradoxe met en évidence les sentiments contradictoires de désir et de connexion qui résultent de la séparation.
* Hyperbole :
- L'oratrice exagère l'impact de l'absence de son mari, affirmant "Mon cœur est écrasé sous le poids / De l'absence, comme une fleur pressée" et que ses larmes pourraient "former un flot / A porter jusqu'au principal". Ces hyperboles démontrent la profondeur de sa douleur émotionnelle et la force de son désir de son mari.
L'utilisation par Bradstreet du langage figuratif ajoute non seulement une beauté poétique aux vers, mais sert également d'instrument puissant pour transmettre les émotions complexes et profondes associées au thème de l'amour durable et aux défis de la séparation.