Voici quelques exemples de la sournoiserie de Richard III dans la pièce :
1) Tracer pour encadrer les autres :Richard accuse à tort son frère Clarence de trahison et le fait exécuter, s'assurant ainsi les terres et les titres de Clarence.
2) Trahir l'allégeance :Richard fait semblant de soutenir l'héritier légitime, Edward, prince de Galles, mais le trahit plus tard, lui et son frère, dans la Tour de Londres, les tuant finalement.
3) Épouser Anne Neville :Pour renforcer sa prétention au trône, Richard épouse Anne Neville, la veuve d'Edward, prince de Galles, bien qu'elle l'ait auparavant calomniée ainsi que sa famille.
4) Courir Lady Anne :Richard réussit à manipuler Lady Anne, dont il a tué le mari, pour qu'elle accepte de l'épouser en jouant sur son chagrin et sa vulnérabilité.
5) Éliminer les menaces potentielles :Richard ordonne la mort de ses neveux, les Princes de la Tour, pour écarter les rivaux potentiels du trône.
6) Fabriquer des preuves :Richard plante de fausses preuves impliquant Buckingham et Hastings, deux de ses propres partisans, dans un complot contre lui pour justifier leurs exécutions.
Tout au long de la pièce, la sournoiserie de Richard III est un aspect clé de son personnage, contribuant à sa méchanceté et conduisant finalement à sa chute et à sa fin tragique.