1. Mariage :L’église sert d’institution officielle pour célébrer les mariages. Frère Laurence, un prêtre, épouse secrètement Roméo et Juliette dans le but d'unir les deux familles rivales et de mettre fin au conflit qui les oppose.
2. Sanctuaire :Dans la pièce, l'église offre un refuge à Roméo après qu'il ait tué Tybalt. Frère Laurence conseille à Roméo de se réfugier à l'église pour échapper à la punition de la loi pour son crime. L'église offre une protection et une sécurité temporaire à Roméo.
3. Conseils et orientations :Frère Laurence, en tant que figure religieuse, offre des conseils et des orientations à Roméo et Juliette. Il essaie de les aider à naviguer dans leur histoire d’amour et leur apporte un soutien émotionnel dans les moments difficiles. Il suggère des solutions et des plans pour aider le couple à surmonter les obstacles, comme la querelle entre leurs familles.
4. Symbolisme religieux :L'église représente une autorité morale supérieure et des croyances religieuses dans la pièce. Il rappelle l'importance des enseignements religieux, tels que l'amour, le pardon et la réconciliation, qui contrastent avec la violence et les conflits qui prédominent dans l'histoire.
5. Décor des scènes clés :L'église sert de décor à plusieurs scènes importantes de la pièce. Par exemple, la scène où frère Laurence célèbre le mariage secret de Roméo et Juliette a lieu dans l'église. De plus, la scène où les corps de Roméo et Juliette sont disposés pour leurs funérailles se déroule dans l'église, symbolisant les conséquences tragiques de leur amour et l'impact sur la communauté.
6. Langage et images religieux :La pièce comprend un langage et des images religieuses, qui reflètent l'influence de l'Église dans la société à cette époque. Les personnages utilisent souvent des références religieuses et des allusions bibliques pour exprimer leurs émotions et leurs pensées.
Dans l’ensemble, l’Église joue un rôle multiforme dans Roméo et Juliette, englobant des aspects religieux, sociaux et symboliques qui façonnent le récit et reflètent les conventions religieuses et sociétales dominantes de l’ère élisabéthaine.