> Quand j'ai entendu le savant astronome,
> Quand les preuves, les chiffres, étaient rangés en colonnes devant moi,
> Lorsqu'on m'a montré les tableaux et diagrammes, pour les additionner, les diviser et les mesurer,
> Quand j'étais assis, j'ai entendu l'astronome donner une conférence avec beaucoup d'applaudissements dans la salle de conférence,
> À quelle vitesse inexplicable je suis devenu fatigué et malade,
> Jusqu'à ce que je me lève et que je glisse dehors, je m'égare seul,
> Dans l'air mystique et humide de la nuit, et de temps en temps,
> J'ai regardé les étoiles dans un silence parfait.
Dans ces lignes, l'orateur assiste d'abord à une conférence prononcée par un astronome, où il se voit présenter des connaissances scientifiques, des preuves, des figures et des diagrammes. Cependant, plutôt que de se sentir éclairé ou impressionné, il devient soudainement « fatigué et malade », indiquant un mécontentement croissant face aux limites des explications rationnelles et scientifiques.
Par conséquent, l’orateur choisit de quitter la salle de conférence et s’aventure dehors dans « l’air mystique et humide de la nuit ». Ce départ peut être interprété comme un rejet d’une compréhension purement intellectuelle et abstraite au profit d’une expérience directe et personnelle et d’une connexion avec le monde naturel. En regardant les étoiles dans un « silence parfait », l’orateur semble découvrir dans l’univers un sentiment d’émerveillement et de mystère plus profond que celui offert par la conférence de l’astronome.
Par conséquent, au lieu d'indiquer spécifiquement un lieu géographique où se rend l'orateur, le poème décrit un changement transformateur dans l'état d'esprit et l'engagement de l'orateur avec le monde en passant d'une salle de conférence fermée au ciel nocturne ouvert.