Ce poème est une courte pièce atmosphérique sur l’arrivée de la nuit dans une ville. Il commence par une description de la ville au crépuscule, avec ses « grands immeubles » et ses « rues animées ». Le poème continue ensuite en décrivant l'arrivée progressive de l'obscurité, avec les lampadaires qui s'allument et le ciel qui devient « noir ». Le poème se termine sur un sentiment de solitude et de vide, avec la ville « silencieuse » et « tranquille ».
L'imagerie du poème est forte et évocatrice, et elle capture le sentiment d'être seul dans une ville la nuit. Les « grands immeubles » et les « rues animées » suggèrent un sentiment de claustrophobie urbaine, tandis que l'obscurité imminente et l'atmosphère feutrée et calme créent un sentiment de mystère et d'inquiétude. Le poème dégage également un sentiment de solitude et d’isolement, l’orateur se sentant seul et déconnecté du reste du monde.
Dans l’ensemble, il s’agit d’un poème puissant et atmosphérique sur l’arrivée de la nuit dans une ville. Il capture le sentiment d’être seul dans un endroit bondé et transmet un sentiment de mystère et d’inquiétude.