Dans le poème faisant référence à ses enfants, à quoi Anne Bradstreet se compare-t-elle ?
Anne Bradstreet compare ses enfants à des « plants d'oliviers ». Cette comparaison se retrouve dans le Psaume 128, qui est un psaume de bénédiction. Dans ce psaume, le psalmiste compare une famille nombreuse à un olivier fructueux. Bradstreet a probablement choisi cette comparaison parce qu'elle mettait l'accent sur l'importance des enfants dans la famille et la bénédiction qu'ils apportent.