Tout au long du poème, Aengus fait référence au « cœur d'une femme » comme à quelque chose à la fois fragile et puissant. Il dit que c'est « comme un oiseau dans un buisson » et que c'est « comme une flamme dans une lampe ». Ces métaphores suggèrent que le cœur d’une femme est quelque chose à la fois beau et dangereux. C’est quelque chose qui peut apporter une grande joie, mais cela peut aussi causer une grande douleur.
Aengus trouve finalement son amant idéal et il est capable de posséder son cœur. Cependant, il sait que ce bonheur ne durera pas éternellement. Il dit :« Je vieillirai et je me lasserai, / Mais je n'oublierai pas / Le cœur d'une femme ». Cela suggère que le cœur d’une femme est quelque chose qui mérite d’être chéri, même si ce n’est que pour une courte période.
Le « cœur d'une femme » est un thème central du poème « Le chant d'Aengus errant ». C'est un symbole d'amour, de désir et de désir. C’est quelque chose à la fois fragile et puissant, et c’est quelque chose qui mérite d’être chéri.